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03 - L’homme arbre
mercredi 25 janvier 2017, par
Lundi 23 janvier, classe des CM1/CM2 de Mme Chatelain, école élémentaire de Rouilly Saint Loup
Intervenante : Yuna Moret, artiste plasticienne
L’homme arbre
Préparation des masques
Les élèves : Au tout début Yuna nous a montré des vieux arbres et il y avait comme des têtes dans les troncs. Puis on a divisé la classe en 2 groupes :
- 1er groupe : la carte à gratter
Avec des pastels on a colorié une feuille puis on a étalé de l’encre de Chine. Il nous reste à gratter la carte. - 2ème groupe : homme arbre
On a réalisé les croquis des masques de nos hommes arbres au crayon de couleur.
Réalisation des masques
Les élèves expliquent leur démarche.
On a gonflé un ballon de baudruche. Puis, par 2, on a collé 5 couches de bandes de papier journal, 2 fois.
Ensuite la maitresse a coupé les ballons en deux pour faire 2 masques.
Avec des bouts de cartons, des morceaux de boîtes d’œufs, des bouchons… on a réalisé les formes du visage.
Après on a plié des bouts de journaux que l’on a collés sur tout le masque pour faire des écorces.
Puis on a recouvert les masques de peinture blanche pour préparer les préparer pour la suite.
Les remarques des élèves
« C’était très bien et un peu rigolo. »
« C’était marrant on avait de la colle partout. »
« C’était bien mais un peu long pour coller tout le papier. »
« C’était trop bien mais un peu dur. »
« Nous avons bien aimé mais à la fin nous en avions assez que le papier se décolle… »
« Cette journée avec Yuna c’était trop bien, on est pressé qu’elle revienne ! »
Festi’livres
Les élèves expliquent leur projet.
Nous avons le projet d’écrire un livre avec un homme arbre.
Avec les masques maitresse va nous photographier pour illustrer un livre. On a commencé à écrire une histoire par groupe de 4 pour Festi’livres. Un personnage fantastique, l’homme arbre, évolue dans un monde contemporain : une ville de béton, Paris.
Pour nous aider on a lu Terriblement vert et L’homme bonsaï et en géographie on a travaillé sur la forêt amazonienne.
Retour sur L’homme bonzaï
- J’ai aimé quand il se faisait tué car à chaque fois il n’avait rien !
- J’ai aimé les actions de l’histoire.
- Je n’ai rien compris, c’était difficile comme histoire.
- Ce n’est pas une histoire vraie c’est juste possible dans les rêves.